dimanche 16 mars 2008

Modern Day Cinderella (Part2) (Dedicated to all the modern-day Aliens)

7 jours passèrent...

Le mariage eût lieu sous le regard ahuri de tous les gens présents à la fête qui étaient accessoirement venus concernant une histoire de pari sur la réalité du mariage, mais quand l'homme moderne voulut éclaircir l'affaire, on lui fît la démonstration qu'il était un homme apprécié dans le quartier en le faisant embrasser sa nouvelle femme et en prenant des dizaines, voire des centaines de photos de son bonheur, ainsi que du sourire charmant de sa fille, passive et heureuse pour son père, heureuse de ne jamais avoir douté de lui. Il y eût tant de rires et de manifestations débonnaires de joie que l'homme moderne fût pris de pitié pour ces gens décidément pas très intelligents, qui n'avaient sûrement pas de Diplômes, mais comme c'était un homme bon, il rit lui aussi de bon coeur et partagea avec joie le festin simple de sandwichs Martels aux oeufs. Il fut légèrement attristé et il senti une pointe de colère lorsqu'il réalisa qu'à son propre mariage on avait omis ceux au jambon qu'il avait demandé, mais le psychiatre avait prévu le coup et une gélule corrigea la pathologie avant même qu'elle se manifeste, et son bonheur resta intact.
Sitôt dit, sitôt fait, la marâtre se matérialisa avec ses deux effroyables adolescentes en plein milieu de l'appartement de l'homme moderne. Immédiatement, elle blâma ce dernier de ne pas posséder une pièce supplémentaire pour loger sa propre fille, étant entendu en petits caractères au bas du contrat de mariage rédigé avec soin par l'avocat du coin que ses filles bénéficieraient chacune d'une chambre, car elles étaient sur le point de s'entretuer.
Elle ne pouvait de surcroît supporter le fait que la fille de l'homme moderne, qui répondait indifféremment au nom de Julie, Marie, Cendrillon, et maintenant Petite Salope, acceptât avec le sourire de dormir dorénavant dans le locker, étant même enthousiaste à l'idée de pouvoir modifier constamment la configuration d'un tel fouillis, ce qui lui assurait à vie une occupation répétitive et sans but défini, ce qui était tout ce qu'elle demandait entre les repas de gélules accompagnées quelquefois de nourriture solide pour éviter l'anémie.
La marâtre chargea Julie, au motif de lui former le caractère et de l'employer à sa juste valeur, de l'ensemble des tâches ménagères de la maison et même de l'entretien corporel de la maisonnée. Marie s'occupait de cette tâche avec un plaisir détaché, un sourire vaguement irritant, curant ongles et nettoyant indifféremment vaisselle et organes sexuels, et retournant sitôt sa tâche accomplie à la constante réorganisation du locker. Le psychiatre n'avait rien à dire, la marâtre lui ayant clairement fait comprendre qu'aucune pathologie ne la frappait elle ni ses filles, de façon très convaincante. En effet, si elle avait été atteinte de quelque désordre psychologique que ce soit, ce ou ces derniers se seraient évidemment transmis au psychiatre lui-même après les morsures. Ce qui ne se produit pas.
Cependant, Cendrillon, même avec les vieux vêtements des deux filles de la marâtre qui avaient été acquis au coût de quelques dollars à l'Armée du Salut du coin en 1989, ne pouvait s'empêcher de rayonner le calme, la bonne humeur et un bonheur incassable. Elle était plus sexuellement attrayante aux jeunes mâles du secteur que les deux filles de la marâtre, car elle dégageait l'impression que nulle perversion ne briserait son sourire. De surcroît ses rares paroles étaient si dénuées de sens que l'on sentait qu'elle ne pourrait jamais accuser personne, par exemple son jeune voisin, de l'avoir sauvagement violée.
Il arriva que le Régent de l'Arrondissement Hochelaga, très haut personnage du Royaume du Keuhbeque, donna un bal destiné à contenter le peuple, qui fît la première page du Journal Du Keuhbeuh..quoi?. Cela n'avait rien à voir avec l'annonce en page 121 d'une nouvelle taxe de 20% que les bons citoyens devaient dorénavant payer pour obtenir le droit sacré de payer leurs impôts de 40% sur le revenu. Absolument tout le monde était invité, même les deux filles de la marâtre, ce qui n'était pas peu dire.
Les deux monstres étaient en plein délire suite à cette invitation, et tenaient un discours complètement incohérent, ayant momentanément perdu l'esprit, ce qui officiellement ne leur arrivait bien sûr jamais.
" Moi, dit l'aînée, je mettrai mon habit de velours rouge et ma garniture d'Angleterre.
- Moi, dit la cadette, je n'aurai que ma jupe ordinaire ; mais, en récompense, je mettrai mon manteau à fleurs d'or et ma barrière de diamants, qui n'est pas des plus indifférentes."
Petite Salope, en les coiffant distraitement, ne perdait pas son sourire niais. Les deux filles se moquaient d'elle en lui faisant remarquer que comme elle vivait dans le locker et que le locker ne disposait pas d'une adresse propre, elle était la seule personne de l'Arrondissement et même du Keuhbeuque entier à ne pas être invitée à l'un de ces bals spontanés qui avaient tous lieu le soir de l'application de la nouvelle taxe, bien que cela n'eût aucun lien de cause à effet.
Une autre que Julie leur eût arraché les cheveux à pleines poignées et crevé cruellement les yeux, mais celle-ci se rendait à peine compte qu'on lui adressait la parole et les coiffa mécaniquement bien. Les deux immondes femelles étaient si excitées, dans leur anticipation de relations sexuelles diverses avec de jeunes étudiants universitaires en état d'ébriété avancée, qu'elles en oublièrent de manger durant plus de deux jours. Leur état mental, ainsi que celui de Petite Salope durant les deux jours délirants qui suivirent, fût secrètement consigné par le psychiatre qui était caché dans le garde-manger et devint par la suite un chapitre de son manuel de psychiatrie, intitulé: ''Psychose Paranoïde: étude de cas'', ce qui lui valût, notons-le en passant, un autre Diplôme d'Honneur.
Le jour de la fête arriva donc, et les deux jeunes folles complètement hallucinées partirent en métro. Marie, qui avait dans l'excitation ambiante omis de prendre toutes ses gélules, vit tout à coup arriver dans le locker une grosse femme souriante aux cheveux blancs avec une plaque de biscuits au chocolats tout chauds et fondants, et immédiatement elle reconnût sa marraine, hallucinée de longue date. Sa soudaine apparition dans la réalité ne causa aucune surprise à Cendrillon qui se mit à dévorer goulûment des biscuits au chocolat, riant et pleurant sans aucune raison apparente.
Sa marraine, qui la vit tout en pleurs, lui demanda ce qu'elle avait.
"Je voudrais bien ... je voudrais bien... Elle pleurait si fort qu'elle ne put achever.
Sa marraine, qui était fée, lui dit, parlant étrangement par la propre bouche de Cendrillon :
- Tu voudrais bien aller au party, n'est-ce pas?
-Oui, car j'ai bien envie de voir tous les beaux papillons, répondit Petite Salope, sans que rien ne permît de saisir à quoi elle faisait allusion.
-Eh bien, en route pour la Forêt Enchantée!, se répondit Julie à elle-même. Le psychiatre qui passait par le locker remarqua avec intérêt ce soudain dédoublement de la personnalité tout en ressentant un léger dégoût de voir cette jeune enfant aux yeux révulsés en train de manger des pneus de bicyclette. Il se promit de réévaluer la médication de la jeune fille, une fois ses vacances finies, dans quelques semaines. Il baîlla.
Julie se rendit dans son ancienne chambre et s'écria, très joyeusement:
- Va dans le jardin, et apporte-moi une citrouille."
L'homme moderne, entendant cela, lui donna une citrouille qui traînait dans la cuisine et retourna écouter la télévision, se demandant où diable se trouvait le jardin.
La marraine la creusa et, n'ayant laissé que l'écorce, la frappa de sa baguette, et la citrouille fut aussitôt changée en un beau carrosse tout doré. Ensuite elle frappa sur les murs compulsivement jusqu'à ce que quelques-unes des souris qui s'y trouvaient, emmenées lors du déménagement par la marâtre, jaillissent. Petite Salope, au fur et à mesure qu'elles sortaient, les frappait durement à la tête avec le marteau de la fille aînée de la marâtre. Les têtes éclataient et se répandaient partout, et, à chaque écoeurant bruit d'oeuf brisé, un immense cheval sans peau surgissait et se plaçait docilement devant le carrosse. Une fois six souris ainsi transformées en attelage, Marie rit doucement et déposa le marteau sanglant.
Elle décida maintenant -''Rien ne peut l'arrêter, nota le psychiatre – de se créer un cocher pour conduire son beau carosse de princesse.

"Je vais voir, dit Cendrillon, s'il n'y a pas quelque rat dans la cuisine, nous en ferons un cocher.
- Tu as raison, dit sa marraine, va voir. "
Marie courut à la cuisine où il y avait trois gros rats comme d'habitude. La fée en prit un d'entre les trois, à cause de sa maîtresse barbe (nul ne savait ce qu'une maîtresse barbe est exactement) et l'écrasa entre ses mains jusqu'à ce que ses entrailles salissent le plancher de la cuisine. Un grand rat énorme aux yeux manquants jaillit alors dans une pluie d'étoiles et se placa sur le carosse de Cendrillon.
Tant qu'à y être, Julie massacra les six lézards de la soeur cadette avec un enthousiasme (''tendances meurtrières'', nota le psychiatre qui avait repris son poste dans le garde-manger) démesuré. Sa frénésie semblait augmenter rapidement, au fur et à mesure que sa dernière dose de Ritalin s'éloignait dans un espace-temps parallèle.
À chaque fois qu'un des lézard mourait, la tête arrachée par les dents de plus en plus sauvages de Petite Salope, il se transformait à ses yeux en beau laquais nu hermaphrodite qui se plaçait partout autour du carrosse et Marie éructait, bavait et grommelait d'une joie tout à fait frénétique.
La fée dit alors à Cendrillon :
" Eh bien! voilà, de quoi aller au bal : n'es-tu pas bien aise ?
- Oui, mais je dois m'habiller en femme moderne!'' décida Cendrillon, enfin atteinte par cette modernité si prisée par son père et signe indubitable du royaume du Keuhbeque. Son père, entendant, ce cri, ne pût s'empêcher de pleurer de joie, mais fût incapable de quitter la télévision des yeux.
Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en kit de danseuse, tout chamarrés de pierreries ; elle lui donna ensuite un string de dentelle, mais paradoxalement fait de verre, le plus moderne du monde.
Quand elle fut ainsi parée, elle monta en carrosse, chevauchant sa citrouille. Sa personnalité ''marraine'' se mît à déblatérer sur un couvre-feu, une heure de rentrée mais les hennissements des squelettes de chevaux couvraient sa voix et tout à coup la marraine se tût, car Petite Salope fatiguée de son ton aigu et par trop empli d'émerveillement avait provoqué sa mort par strangulation, coupant ce faisant l'accès de l'oxygène à son propre cerveau, et elle s'élança tout heureuse et à moitié nue vers le party. Nul ne saurait expliquer comment elle le trouva.
Le fils du Régent d'Arrondissement, un petit nerd morveux âgé de 16 ans et possédant les hormones correspondantes, fût averti par ses amis de l'arrivée d'une jeune fille qui semblait particulièrement sur le party. Il courut la recevoir, une érection tendant ses pantalons. Il lui donna la main et botta négligemment la citrouille barbouillée de rouge qu'elle chevauchait comme une princesse un carrosse. Un grand silence se fît alors, suivi du bruissement de la foule stupéfaite de l'apparition subite de Julie portant seulement un sous-vêtement de type parachute beaucoup trop grand pour elle.
Le Régent même, tout vieux qu'il était, ne laissait pas de la regarder, et de dire tout bas à la Régente qu'il y avait longtemps qu'il n'avait vu une si belle proie pour petits nerds morveux en manque de sexe.
Le fils du Régent la mit à la place la plus cachée des regards, et ensuite tenta maladroitement de la tripoter. Elle resta totalement immobile et souriait avec tant de conviction qu'il éjacula directement dans ses pantalons devant une telle aubaine.
Marie sembla tout à coup vaguement revenir sur Terre et reconnût les deux filles de la marâtre. Elle se précipita vers elles et se mît à tenter de les laver à l'aide de verres d'eau qu'elle avait saisi au passage et de ce qu'elle croyait être du savon, mais qui en réalité était le sperme du fils du Régent qui traînait sur sa main, parce qu'il l'avait avidement fourrée dans son pantalon sans que Petite Salope ne se rende compte de rien.
Tout à coup une étrange fée démente qui passait par là donna un coup de baguette magique et des petits coeurs se mirent à pleuvoir sur la scène et tout le monde fût frappé d'un étrange sort qui faisait en sorte qu'ils ne reconnaissaient plus Marie mais croyaient voir Britney Spears qui distribuait des capsules d'ecstasy à la ronde.

Cendrillon entendit sonner onze heures trois quarts ; elle fit aussitôt une grande révérence à la compagnie, et s'en alla le plus vite qu'elle put, car elle avait tout à coup envie de tuer son père.
Dès qu'elle fut arrivée, elle fût heureusement distraite de son projet initial par sa marraine bleue à la voix caverneuse ressucitée, qui lui dit qu'elle pourrait retourner au party le lendemain, mais qu'elle devrait être plus intelligente que ça lorsque le fils du Régent lui démontrerait un intérêt naturel et keuhbeh...quoi? de la plus haute classe comme il l'avait fait ce soir là.
Comme elle était occupée à raconter à sa marraine tout ce qui s'était passé au bal, malgré le fait que celle-ci avait subitement disparu, les deux soeurs heurtèrent à la porte ; Julie leur alla ouvrir.
"Si tu étais venue au party, lui dit une de ses soeurs, tu ne t'y serais pas ennuyée il est venu le plus bel icône moderne, la plus belle femme qu'on puisse jamais concevoir ; elle nous donné de l'ecstasy, des oranges,des citrons. Britney Spears elle-même! Elle est définitivement mieux que Paris Hilton bien que toutes les deux méritent le maximum d'intérêt. Par chance que notre monde moderner et civilisé nous permet de le leur accorder! "
Petite Salope ne se sentait pas de joie de savoir que le fils du Régent en était fort en peine, croyant vraiment avoir mis la main de Britney Spears sur son petit membre ratatiné, puis avoir perdu sa trace. Elle n'avait aucune raison spécifique de ressentir de la joie pour cette raison, mais qui s'étonnerait de quoi que ce soit à ce point de notre histoire? Cela était, tout simplement.

Le lendemain tout le monde était au bal. Julie cette fois avait mis une tuque orange en plus de son sous-vêtement parachute et avait un attelage de chatons aux pattes arrachées, ayant dû s'aventurer dans les ruelles pour constituer son nouvel attelage, mais ces péripéties seraient trop longues à raconter dans le cadre de notre histoire. Contentons-nous de noter qu'elle avait de nouveau ''créé'' un attelage complet avec six laquais hermaphrodites et qu'elle riait constamment.
Le fils du Régent fût constamment collé sur elle, et ne cessa à aucun moment de lui faire maintes propositions salaces, passant des relations anales à des propositions de déterminer si la gorge de Petite Salope pouvait acceuillir l'entièreté du pénis dudit Fils.
La jeune demoiselle ne s'ennuyait point et oublia ce que sa marraine lui avait recommandé; de sorte qu'elle ne céda ni bouche ni anus au Fils du Régent, restant béate à s'entendre ainsi conter fleurette. Tout à coup elle eût un éclair de lucidité et réalisa l'intensité de la situation, la dégradation de son état mental et l'endroit où elle se trouvait, ainsi que la tenue qu'elle portait (''L'effet des antipsychotiques s'estompe, nota le psychiatre camouflé dans un lustre, braguette détachée au cas où spectacle il y aurait eu, mais toujours fiévreusement occupé à noter l'évolution de l'état de Marie). Elle tenta de fuir, son sourire pour la première fois effacé.
Le prince la suivit, mais il ne put l'attraper. Elle laissa tomber le string de verre, que le prince ramassa bien soigneusement, et qui n'était finalement qu'un énorme sous-vêtement parachute.
On demanda aux cols bleus qui rêvassaient près de l'Hôtel de Ville si ils avaient vu passer Britney Spears, ce à quoi ils répondirent qu'ils n'avaient vu qu'une junkie dépravée nue, ce dont le fils du Régent n'avait rien à foutre.
Le Régent fît publier le lendemain en première page une photo du sous-vêtement parachute, pronmettant une récompense à quiconque pouvait lui amener vive quoi que pas nécessairement consciente la personne à qui appartenait ce truc. On avait bien conscience que peu de personnes auraient osé mettre de tels atours, alors on espérait que la vieille Loi de Pruneau du Keuhbèque, qui voulait que la dénonciation soit non seulement obligatoire mais bien récompensée, suivant l'exemple de Saint Pruneau qu'on présentait en loop aux enfants le soir ''stoolant'' allègrement sa soeur Cannelle, ferait en sorte que Britney Spears serait rapidement retrouvée et livrée pieds et poings liés aux fantasmes débridés du fils du Régent.
L'une des deux soeurs reconnût aussitôt les sous-vêtements favoris de leur mère la marâtre, car dans leur enfance elles avaient souvent mis la main à l'intérieur sur ordre de leur mère, pour ce qu'elle appelait ses ''séances de relaxation''. Laborieusement, elle compris que Petite Salope était en fait Britney Spears. Elle fût déstabilisée. Mais le psychiatre laissa habilement tomber à partir d'un trou dans le plafond une capsule de Prozac extra-forte qui tomba dans sa bouche hurlante, la calmant immédiatement et lui remettant les idées en place.
Ses soeurs se mirent à rire et à se moquer de Julie en l'attachant pour la livrer au Régent..
Il fit asseoir Cendrillon, et approchant son pénis de son petit cul, il vit qu'il y entrait sans peine, et qu'elle y était juste comme de cire.
Là-dessus arriva la marraine, qui ayant donné un coup de baguette, répandit partout une joie spectrale de voir que Cendrillon lui obéissait enfin, et la transforma en sosie parfait de Britney.
Alors ses deux soeurs la reconnurent pour la Britney qu'elles avaient vue au bal. Elles se jetèrent à ses pieds pour lui demander pardon de tous les mauvais traitements qu'elles lui avaient fait souffrir.
Petite Salope, soudainement très déprimée, se mit à pleurer sous les faibles coups de boutoir du fils du Régent qui ne cachait pas sa joie.

MORALITE
Essayez de régler vos problèmes existentiels sans avoir recours à la psychiatrie.
AUTRE MORALITE
Vérifiez qui vous épousez. Au pire, reconsidérez l'agence d'escorte du coin.

1 commentaire:

Arthur a dit...

aSuper ta fin d'histoire! L'idée de Britney était excellente mais je te comprends d'avoir hésité entre elle et Paris Hilton; grosse compétition pour le titre de princesse post-moderne...